vendredi 18 février 2011

chercher la simplicité

Ce week end j'ai assisté à des enseignements Bouddhistes donné par Olivier Raurich.  Du vrai bonbon.

 Je parle souvent de l'auto guérison, qu'on a tous un petit médecin à l'intérieur de nous, je l'ai lu venant du  Dr. Edward Bach, de Bernard Jenson (celui qu'on nomme le maître de la naturopathie). Et maintenant je l'entend de vive voix dans une conférence sur la guérison.

Ce que j'en retiens c'est qu'il n'y a pas de grand Bouddha, de grand Dieu à l'extérieur de nous et nous on est là tout petit à prier, ce Bouddha il est à l'intérieur de nous, c'est une source infinie d'amour et il s'agit de la faire jaillir  pour pouvoir se guérir.
Je traîne avec moi un énorme passé d'éducation judéo chrétienne et j'aime cette façon de pouvoir en faire le ménage.  Il n'y a pas de bien ou de mal, il y a des gestes que je peux faire pour être heureuse et d'autres que je peux faire pour être malheureuse et probablement rendre les gens autour de moi malheureux. Il me reste à choisir et assumer les conséquences de mes choix.
Dans le même sens d'idées, il y a des choses empoisonnées et des choses saines. La haine la culpabilité le ressentiment sont des attitudes empoisonnées, l'amour, la tendresse, l'altruiste sont des attitudes saines.

J'entends aussi que nous pensons à tort que les mantras et la visualisation sont des actions qui nous viennent des orientaux, quand depuis notre tendre enfance plusieurs d'entre nous ne cesses de de se répéter : «Je n'y arriverai jamais, je suis pas bon dans ça, je suis née pour un petit pain...» et que ce sont effectivement des mantras puisque ça fini par se réaliser.  Il s'agit donc de changer la cassette et d'éliminer les paroles empoisonnées.

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